Alors que l’interdiction d’emploi d’huiles minérales pour les impressions à destination du public vient d’entrer en vigueur le 1er janvier 2025, aucune solution satisfaisante n’est disponible à date pour les éditeurs de presse : surcoût de l’ordre de 35 millions d’euros par an pour la presse avec impossibilité d’éliminer les traces de composés d’huiles minérales, tests d’encres alternatives non aboutis, seuils trop bas pour être détectés lors de contrôles sur pièce, etc.
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