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Dans deux décisions du 10 janvier 2024 la Cour de cassation rappelle l’obligation de l’employeur de reprendre le versement du salarié déclaré inapte par la médecine du travail, dans un délai d’un mois suivant la visite médicale de reprise à défaut de reclassement ou de licenciement (art. L1226-4 du code du travail relatif à l’inaptitude consécutive à la maladie ou l’accident non professionnels ; et l’art. L1226-11 du même code relatif à la maladie et l’accident professionnel). Mais surtout, elles rappellent que la contestation de l’avis d’inaptitude ne suspend pas le délai d’un mois. Dans la première affaire, la Cour rappelle que le délai d’un mois

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